Shining 

Shining est un classique du cinéma. Avec lui, on découvre l’horreur en plein jour. Adaptation du roman éponyme de Stephen King, le film de Kubrick se défait de toute une partie de l’histoire originale pour s’attarder sur l’ambiance et une action lente et pesante.

Oppressant, Shining est sans nul doute l’un des meilleurs films d’horreur, servi par Jack Nicholson qui rend un personnage barbare, malsain et dérangé dans un jeu d’acteur à couper le souffle.

REC

Lors de sa sortie en 2007, REC était un film espagnol à tout petit budget, filmé en shaky cam (en vogue à l’époque), et qui a eu pour intérêt de se démarquer dans le genre du film de zombie.

En effet, outre le fait qu’il s’agit d’un huis clos dans la cage d’escalier d’un immeuble, ce qui rend l’atmosphère palpable, les créatures du film en sont d’autant plus effrayantes et nombreuses.

La Cabane dans les Bois

Produit par Joss Whedon, le papa de Buffy et des Avengers, La Cabane dans les Bois est un excellent film qui déconstruit méthodiquement le film d’horreur et le slasher.

Si l’histoire paraître très classique au premier abord, avec un groupe d’adolescents qui partent en week-end dans la forêt, il devient de plus en plus surprenant, tout en continuant à donner la chair de poule.

Silent Hill

Même si Resident Evil a été adapté au cinéma dès 2002, l’adaptation du jeu vidéo Silent Hill est l’une des plus réussies de ses dernières années. Le réalisateur français Christophe Gans a réussi à reproduire l’ambiance malsaine et l’épouvante psychologique qui a fait le succès du survival horror d’origine.

Les effets visuels sont toujours aussi réussis et les frissons sont garantis. Particularité du film, même s’il appartient indéniablement au genre des films d’horreur, il fonctionne surtout pour son aspect malsain et non pas sur les sursauts. Silent Hill est idéal pour une soirée Halloween entrecoupée d’une partie ou deux de jeux vidéo.

28 jours plus tard…

Dans 28 jours plus tard, il n’est pas vraiment question de zombie, mais plutôt d’infecté. Rapides et puissants, ils sont d’autant plus impressionnants que la propagation du virus, libéré par erreur après des expérimentations d’un dérivé de la rage sur des singes, est rapide.

Face à eux, l’instinct de survie sera le seul avantage de Jim, un rare rescapé qui se réveille d’un coma 28 jours après le début de l’infection. L’espoir est difficile à trouver, tant bien que les nerfs du spectateur sont mis à rude épreuve tout à long de l’intrigue. Et l’actualité récente, avec la progression du virus Ebola sur la planète, saura en plus faire naitre une légère paranoïa tant que la pandémie ne sera pas endiguée…