Il fatigue les yeux
À partir du moment où vous passer plus de 2 heures consécutives devant l’écran de votre téléphone (ou en alternant entre votre téléphone et votre ordinateur), vous risquez d’avoir les yeux secs à force de ne pas cligner des yeux, des migraines, une vision floue et une fatigue oculaire surtout si vous avez des problèmes de vision non-traités.
Tourner le regard et le laisser errer toutes les 20 minutes peut aider, ainsi que de cligner les yeux fréquemment.
Il peut causer des éruptions d’acné
À force de poser vos doigts pleins de bactéries sur l’écran de votre smartphone, vous le transformez en un nid à saletés. Quand vous collez votre portable à votre oreille, vous pouvez déposer des bactéries sur votre visage.
Il retarde l’évolution de vos capacités sociales
Un téléphone est un moyen d’éviter d’interagir dans la vraie vie. Il pourrait donc interférer avec le développement de vos capacités de communication.
L’angoisse sociale mène à une anxiété généralisée, avec les symptômes physiques qui vont avec.
Il peut faire baisser votre mémoire
Avec un smartphone, plus besoin de mémoriser des choses qu’on peut facilement rechercher, comme des numéros de téléphone. Et quand vous arrêtez de mémoriser des faits et des chiffres, votre mémoire perd de sa vivacité.
Il interfère sur votre sommeil
Si vous faites partie des 95% de gens qui utilisent un appareil électronique moins d’une heure avant d’aller se coucher, la lumière bleue artificielle pourrait réprimer les hormones qui provoquent le sommeil et retarder l’heure du coucher.
Sans compter les vibrations, les bips et la lumière de votre téléphone qui peuvent vous réveiller une foie endormie.
Il augmente le risque d’accidents mortels
La raison est simple : c’est une ÉNORME distraction pour les conducteurs et les piétons. En 2012, aux États-Unis, 3328 personnes ont été tuées dans des accidents de voiture impliquant des conducteurs distraits.
Marcher avec son portable à la main n’est pas beaucoup plus sûr : des experts estiment que les piétons déconcentrés causent plus de blessures par kilomètre que les conducteurs.