Demon’s Souls / Dark Souls
La série des Souls a débarqué en 2009 avec Demon’s Souls, et son succès s’est confirmé deux ans plus tard avec Dark Souls. Combien de manettes ont volé contre les murs après un enchaînement de défaites contre les boss ? Bien trop pour pouvoir les compter… Dark Souls emmène le joueur dans un univers sombre au sein duquel l’apprentissage se fait de la manière la plus difficile possible.
Il est presque impossible de vaincre un ennemi du premier coup : il faut apprendre et comprendre ses mouvements en l’affrontant plusieurs fois avant d’en venir à bout. Heureusement, il est possible d’enregistrer sa progression.
Cuphead
Attention, il ne faut pas se fier au style de Cuphead, sorti tout droit des dessins animés des années 30. Malgré ses graphismes mignons, ce mélange de shoot et de plates-formes est d’une extrême difficulté.
À l’image de Dark Souls, c’est une flopée de boss qui attend les joueurs, et il faut faire preuve d’ingéniosité pour réussir à les vaincre. Les combats peuvent se faire en plusieurs parties et si vous perdez, vous devez reprendre le niveau depuis le début. Il faut donc réfléchir à des stratégies et changer son approche aussi souvent que possible. Cuphead peut heureusement se savourer à deux et ce n’est pas de trop !
Super Meat Boy
Si vous souhaitez travailler vos réflexes, Super Meat Boy est le jeu qu’il vous faut. L’objectif de ce jeu de plates-formes est de terminer chaque niveau sans se faire charcuter par les différents pièges qui font face au personnage tout en viande.
Le moindre faux pas est fatal, et quel que soit l’endroit où l’on se fait toucher par les scies circulaires, il faut recommencer le niveau tout au début. Évidemment, il faut s’armer de patience et ne pas perdre espoir trop vite, mais la concentration est de mise et un seul regard hors de l’écran peut être fatal.
Super Mario Maker
Les jeux Mario ne sont pas réputés pour leur grande difficulté. Ils ne sont pas toujours faciles pour autant, mais ils sont toujours plus accessibles que les aventures du malheureux héros de Dark Souls, par exemple. Néanmoins, lorsque les joueurs doivent eux-mêmes créer les niveaux, l’histoire est différente et la difficulté monte d’un cran.
C’est notamment le concept de la série Super Mario Maker, qui permet aux fans de fabriquer les mondes qu’ils souhaitent avec tous les éléments cultes de l’univers Mario à disposition. On peut même voir où ont échoué les autres joueurs tout au long des différents niveaux. Un deuxième épisode de ce jeu, encore plus complet, est sorti sur Nintendo Switch.
Ghosts ‘N Goblins
Encore un autre jeu de plates-formes où toute progression peut être stoppée net. La mort est inévitable dans Ghosts ‘N Goblins, sorti en 1985 sur la NES, et deux coups suffisent à tuer le chevalier. À côté de cela, ses ennemis peuvent apparaître n’importe où et à n’importe quel moment sur l’écran, sans prévenir.
Mais ce n’est pas tout : si un joueur arrive par miracle à la fin, le jeu redémarre à zéro avec une difficulté plus élevée ! Il faut avouer que Capcom est là bien cruel avec celles et ceux qui se sont frottés à Ghosts ’N Goblins.