Cucurbitaciste

L’été, il n’y a rien comme le melon pour se rafraîchir. Mais savez-vous qu’il y a des gens qui collectionnent des étiquettes de melons ? On les appelle les cucurbitacistes. À bien y penser, il est vrai qu’il existe plusieurs modèles d’étiquettes de fruits…

Les cônes de signalisation

David Morgan, un britannique de 73 ans, fait partie du Dull’s Men Club où il est surnommé “Cône-Man le Barbare” et ce n’est pas pour rien !

David collectionne les cônes de signalisation depuis 1970 et il en possède plus de 500. Une collection qui occupe de l’espace mais il est vrai que c’est toujours triste de voir un cône seul sur le bord de la route. 

Notaphile

Dans le domaine fiscal, on recommande aux contribuables de conserver leurs factures pendant un certain temps. Certaines personnes semblent tellement aimer cela qu’elles les collectionnent. On ne parle pas ici des comptables, qui le font d’une façon strictement professionnelle, mais plutôt des notaphiles.

Les sacs à vomi

Ce que l’on appelle communément sacs à vomi sont les petits sacs pliables et imperméables que l’on trouve généralement dans les avions. Ils sont apparus pour la première fois en 1949. 

Les collectionneurs de sacs à vomi sont appelés éméroaérosagophile. Rassurez-vous, ils sont collectionnés non utilisés !  Le record de la plus grande collection de ces petits sachets appartient à Niek Vermuelen, il est inscrit dans le Livre Guinness des records depuis 1986 et possède aujourd’hui plus de 6 290 sacs. 

Saccuplastikophile

Les sacs de plastique polluent. Alors pourquoi ne pas les garder chez soi ? C’est ce que font les saccuplastikophiles. L’arrivée des sas réutilisables a dû faire plaisir à certains collectionneurs qui ont sûrement décidé d’élargir leur collection. Par contre, un sac réutilisable coûte souvent plus cher qu’un simple sac d’épicerie.

Les peluches de nombril

Quoi de plus satisfaisant que de collectionner ce que nous produisons nous-même ? C’est sûrement ce que s’est dit le bibliothécaire australien Graham Baker.  Depuis 30 ans, il collecte ses propres peluches de nombril, ces petites boules de tissus qui viennent se loger dans les nombrils avec le frottements des vêtements, qu’il classe par années dans des bocaux.

En 2010, il est entré dans le Livre Guinness des records avec 22 grammes de ses petites productions.
Il a d’ailleurs confié à cette occasion que les sous-vêtements thermiques permettaient une plus grande et belle production. Une information que nous trouvions des plus importantes pour la partager ici.