Les fruits mûrs

Des études récentes démontrent que les fruits parfaitement mûrs sont bons pour la santé et la longévité. Ainsi, les poires et les mûres à pleine maturité contiennent plus d’antioxydants qui combattent la maladie.

Dans le cas de la pastèque, la couleur rouge foncé signale la présence d’une plus grande quantité de lycopène, un antioxydant qui réduirait le risque de cancer et de maladie cardiaque.

Un peu plus de vitamine D

Synthétisée à partir de l’exposition au soleil, la vitamine D est bénéfique pour la santé et la longévité.

Le temps que nous passons à l’extérieur ne permet pourtant pas toujours d’en faire le plein, et comme l’incidence du cancer de la peau augmente avec l’âge, il est important de limiter notre exposition. Votre médecin déterminera si un supplément de vitamine D en comprimé ou en ampoule s’impose.

Moins d’antidouleurs

La consommation régulière d’analgésiques comme l’ibuprofène ou le naproxène est associée à une augmentation de 10% du risque d’infarctus ou d’AVC.

Le risque serait accru avec les produits nécessitant une ordonnance. Réservez-en l’usage aux douleurs vives et prenez la plus petite dose possible pendant moins longtemps.

Boire du café

Le café ne fait pas que nous tenir éveillé : il réduit le risque d’AVC, de diabète et de certains cancers. Selon une étude publiée en 2015 dans Circulation, les personnes ayant bu de trois à cinq cafés par jour voyaient leur risque de mourir prématurément diminuer de 15% comparativement à ceux qui n’en buvaient pas du tout.

Si vous n’aimez pas le café, optez pour le thé vert, car il contient de la catéchine, un puissant antioxydant qui serait efficace contre le diabète et les maladies cardiovasculaires.

Manger moins, manger tôt

Si vous voulez être centenaire, posez la fourchette. La réduction volontaire des calories fait baisser la tension artérielle, le cholestérol et la résistance à l’insuline, affirment les chercheurs.

Réduisez la prise de calories tard le soir. En 2013, une étude de l’université Harvard a établi un lien entre les maladies cardiovasculaires et une alimentation en fin de soirée, surtout chez ceux qui se relèvent pour manger après s’être couché.

Devenir végétarien

Publiée dans JAMA Internal Medicine, une étude de six ans sur 73 000 adultes majoritairement âgés de plus de 55 ans a permis d’établir que les végétariens ont 12% moins de risque de mourir que les carnivores, toutes causes confondues.

Le taux de mortalité le plus bas se rencontre chez les pesco-végétariens (consommateurs occasionnels de poisson), suivis des végétaliens (qui s’interdisent les produits animaux), puis des lacto-ovo végétariens (qui consomment des produits laitiers et des œufs).